Harmonium, basse, guitare et batterie gorgés d’effets
pour une longue errance musicale :
In A Gadda Da Vida - déformation de
In The Garden of Eden, dit la légende -,
morceau phare de 17 minutes ayant donné son titre
à l’album et l’ayant rendu célèbre,
est construit sur un motif simple répété à l’envi
qui préfigure le heavy metal encore dans les limbes,
voire le thrash : le groupe Slayer ne s’y trompera pas,
qui en fera une relecture moins psyché et plus violente
en 1987, près de vingt ans plus tard. |